top of page
Taïwan à Avignon

Compagnie :  The Puppet & its double theatre

Du 07/07/2017 au 29/07/2017 à 12H

Au Thêatre de de la condition des soies

LE JARDIN

THE PUPPET & ITS DOUBLE THEATER

DE M.RURARU

Après avoir ravi le public d’Avignon en 2007 et 2009, les incroyables marionnettes de The Puppet and Its Double Theater, sont de retour !

 

Monsieur Ruraru a une pelouse qui fait sa fierté. Il l’entretient avec le plus grand soin et veille à ce qu’elle soit toujours impeccable. Dans une tension nerveuse permanente et toujours sur le qui-vive, il s’est muni d’un lance-pierre pour chasser tout animal qui aurait envie de venir sur sa pelouse. Mais un beau jour, il y découvre une grosse branche ronde. Il va lui donner un coup de pied, quand il s’aperçoit que c’est un crocodile. Sous le charme – mais aussi la menace –  du crocodile, voilà que Monsieur Ruraru pour la première fois de sa vie s’allonge détendu sur sa pelouse. L’herbe lui chatouille agréablement le ventre. Monsieur Ruraru devient plus doux, plus ouvert. Il accueille tous les animaux qui se présentent et partage avec eux le plaisir que procure sa pelouse.

 

Il a compris que le plaisir de « partager » est bien plus fort que celui de   « garder pour soi ».

Pour télécharger une photo, cliquez dessus, puis une fois affichée, Clique droit / Enregistrer l'image sous.

Crédit / Copyright : ...

Pour télécharger une photo, cliquez dessus, puis une fois affichée, Clique droit / Enregistrer l'image sous.

Crédit / Copyright : ...

Chorégraphe :  Hsiao-Tzu Tien

Du 09/07/2017 au 19/07/2017 à 21H45

Au CDC - Les Hivernales

HSIAO-TZU TIEN

THE HOLE

The Hole est une somme d’états émotionnels, de ces sombres moments de la vie qui par intermittence, telles des vagues, nous assaillent.

 

The Hole est une tentative d’utiliser le corps pour accéder à la source originelle des sentiments et émotions ; de se servir des contradictions et du désespoir qu’engendre la société pour réfléchir à ce « sentiment de flottement »  inhérent à notre époque et qui naît de la tension entre intérieur et extérieur, entre l’homme et son environnement. Il s’agit, à partir d’un point de vue individuel, de trouver le lien qui existe entre état émotionnel et société. Dans cette œuvre, les tableaux se succèdent comme les fragments d’une mémoire retrouvée et, grâce à la sonorisation live et aux lumières, reproduisent sur scène l’occurrence des accidents de la vie et des états émotionnels qui en dérivent, dans  une imprévisibilité permanente et avec une seule constante : la fuite du temps.

 

The Hole est une réflexion sur le doute immense qui s’attache à la réponse à l’interrogation « qui suis-je ? ». Ce sont ce doute et les tentatives fébriles de le lever qui constituent le sujet principal de The Hole. Ces pas hésitants et ces respirations tendues, ces moments d’hébétude où l’on ne sait que faire font partie intégrante de la vie et il faut replonger dans la vie pour les ressentir encore une fois. The Hole, c’est le corps – harassé, hésitant – sous le coup des émotions ; c’est l’état d’esprit – flexible, terrifié, combatif, s’agitant à l’aveugle comme un canard sans tête – dans sa quête d’une solution. Ce corps expression du désir profond  de « trouver une solution » constitue le langage même de The Hole, un langage corporel antérieur à l’apparition de la conscience, une sorte de désir primal.

 

Comme à l’entrée d’une caverne, à la limite entre obscurité et clarté, hésitant, vacillant, mais finalement toujours seul. Comme si nous n’arrivions pas à formuler une foule de choses, peut-être une insupportable lutte, peut-être une anormale tranquillité.

Pour télécharger une photo, cliquez dessus, puis une fois affichée, Clique droit / Enregistrer l'image sous.

Crédit / Copyright : ...

Pour télécharger une photo, cliquez dessus, puis une fois affichée, Clique droit / Enregistrer l'image sous.

Crédit / Copyright : ...

Pour ce nouveau spectacle, le Formosa Circus Art s’est débarrassé des codes circassiens superflus pour retrouver l’esprit du cirque dans toute sa pureté et élaborer un style nouveau à partir des seules acrobaties et jongleries. Les accessoires traditionnels, balles, bouteilles de flair, anneaux, massues, font place à des objets de la vie courante que l’on trouve au supermarché : porte-manteaux, seaux, serpillières, déboucheurs à ventouse, boîtes de conserve et autres objets usuels. Les séquences traditionnelles de jonglage et acrobatie ont été abandonnées : plus de lâcher, jeter, rattraper, poirier, pyramide humaine, mais des performeurs dont le corps banal se tord de façon grotesquement monstrueuse pour constituer avec les différents objets auxquels il s’assemble de véritables sculptures vivantes.

 

Ce que l’on pourrait croire être le cœur du spectacle, à savoir la technique acrobatique des performeurs, n’est en fait qu’un instrument au service du jeu de manipulation et de transformation de ready-mades. Que ce soit à partir de l’aspect extérieur des objets, des caractéristiques de leurs matériaux et de leur fonction utilitaire que naisse la réflexion ; ou bien qu’elle soit au contraire suscitée par l’attention prêtée au contexte situationnel de l’objet ou par l’imaginaire émanant de lui ou encore par sa redéfinition, le spectacle interroge : est-ce pour répondre aux besoins de son mode de vie que l’homme invente des objets ou est-ce l’apparition des objets qui modifie notre mode de vie ? Est-ce que c’est par le biais des objets que l’homme identifie les situations et les relations ou est-ce que ce sont les objets qui déterminent l’état d’esprit et les pensées, au point même d’être ce qui permet d’évaluer la distance séparant deux personnes ? 

Compagnie :  Formosa Circus Art

Du 07/07/2017 au 29/07/2017 à 16H

Au Thêatre de de la condition des soies

FORMOSA CIRCUS ART (FOCA)

IS NOW ?

HOW LONG

As Four Step est une création de Baru MADILJIN, chorégraphe du Tjimur Dance Theatre. Le titre chinois du spectacle signifie « comme si ce n’était pas de la danse ». Il est basé sur une homophonie avec celui d’une danse de fête des aborigènes païwan appelée « danse des 4 pas ». Après un travail de déconstruction, puis de reconstruction de cette « danse des 4 pas »,  Baru MADILJIN en propose sa version élaborée d’artiste avec As Four Step. Ce spectacle a été présenté en 2016 au Mexique au Festival Internacional Cervantino où il a reçu un accueil enthousiaste du public.

 

A la base du spectacle, il y a la « danse des 4 pas », danse festive de l’ethnie païwan, exécutée au son des psalmodies ancestrales avec une succession répétitive de pas, à gauche, à droite, en avant, en arrière. Cette chorégraphie reflète pleinement la vie et la culture païwan. Pas de technique de danse compliquée, mais simplement un langage chorégraphique direct, dans toute sa pureté. Tout à fait spécifiques de As Four Step sont aussi l’éclairage et la musique, celle-ci très différente de celle que Baru MADILJIN utilisait précédemment pour ses chorégraphies. Il a ici choisi une musique qui amène tout naturellement le spectateur à un état méditatif et qui, au gré des mouvements rythmiques, entre danse et non-danse, des corps des quatre danseurs, le plonge dans l’atmosphère si particulière du spectacle. 

Chorégraphe :  Baru MADILJIN

Du 07/07/2017 au 29/07/2017 à 17H40

Au Thêatre de de la condition des soies

TJIMUR DANCE THEATER

STEP

AS FOUR

bottom of page